Sujet: Ludwig A. Fischer ❀ Another lullaby. Dim 16 Sep - 14:02
Ludwig A. Fischer
Informations
» Surnoms ; Aucun. (Lancelot du Lac ). » Sexe ; Masculin. » Âge ; 27 Ans. » Manies ; Il aime regarder droit dans les yeux, a part ça je ne peux que vous dire : Découvrez par vous même. » Nationalité ; Autrichienne. » Groupe ; Professeur. » Profession ; De Musique. » Orientation sexuelle ; Hétérosexuelle. » Son but ; Un secret qu'il ne veut pas révéler.
Pseudo
» Âge ; 18 Ans. » Pays ; France. » Présence ; 4/7 » Code du règlement ; Validé by Ryan. » Mots de fin ; ~ » Où as-tu trouvé ce fow ; Matthew ;) » Perso' utilisé comme avatar ; Lancer - Fate/Zero
Questionnaire
Ses cheveux sont d'un noir de jais, sombre comme la nuit; Ses iris quand à elles, sont d'un dorée parfait, non pas comme certain animaux mais plutôt comme l'or des bijoux. Il a un grain de beauté sous l'oeil droit et à souvent comme habitude de sourire qui d'ailleurs quitte très rarement son visage.
• Pop-corn ou chips? Chips
• Si on te coupait les cheveux pendant votre sommeil, quelle serait ta réaction? ... Dios mio.
• Si tu faisais un piercing, où le ferais-tu? Nul part car je n'en ferais jamais.
• Quel style de musique aimes-tu? Tout. Surtout ballads, (smooth) jazz, deep house, soul et rnb.
• Si on te prenais en photo nu dans la douche, que ferais-tu? Veinard.
• Riz au lait ou cookies? Cookie.
• Si tu avais un pouvoir, lequel serait-ce? Caméléon. Pouvoir être qui je veux quand je veux.
• Aimes-tu la salade? En effet.
• Es-tu vierge? Oui, je suis un charmeur. Non, je suis pur et innocent. Peut-être, je veux bien avec toi.
• Tu aimes les cupcakes? En effet.
• Collectionnes-tu les bocaux de cornichons? Pour te les jeter à la figure.
• Quel est ton super-héros préféré? Batman.
• Quel est ton super-méchant préféré? Magneto.
• Lilo et Stitch ou Mulan? Mulan.
• Si l'opposé de ton sexe te propose de te rouler une pelle, que tu acceptes et qu'il te dit qu'en fait il est du même sexe que toi, quelle serait ta réaction? ... Dios mio.
Mental
Un chant commence, la première phrase qui se fait entendre est :
« Life, is not at all that bad my friend. »
Et pendant que la chorale chantait de plein Cœur les yeux fermés, l’un d’entre eux avait le sourire aux lèvres. A la suite de cette séance, le père s’approcha du fils puis lui demanda : « Fils, pourquoi souriais-tu ? », la main du jeune homme s’approcha du sombre manteau noir, le sourire encore gravé au visage : « Car c’est ironique mon Père. »
Il quitta l’église en laissant l’homme de Dieu plein de questions sur ce que le garçon appelait « Ironique. »
L’Ironie, un mot qui qualifie très bien la triste histoire de Ludwig A. Fischer.
Mais qu’est-ce qui est plus ironique que l’ironie ? L’ironie à l’intérieur de l’ironie. Un état paradoxalement paradoxale mais, bien sûr, vous lecteur n’y comprenez rien, pas avant d’avoir lu ce qui suivra sous ce paragraphe. (Ou d’avoir regardé Inception. (Qui d’ailleurs n’a aucun rapport.) )
Il est ce genre d'homme, vouloir être invisible mais, remarquer, indécis mais, sait ce qu'il veut, avoir aucune attache mais, veut qu'on lui porte de l'importance. C'est ça Ludwig A. Fischer. Ludwig le complexe, Ludwig le lunatique, Ludwig l'autiste. Je peux vous sortir tout un vocabulaire mais, là n'est pas l'intérêt.
Doté d’une grande intelligence et d’un puits de sagesse, il s’aventure dans chaque domaine. Sa quête ? Aider sans être aider, savoir sans qu’on le sache. Il peut un jour être un ouvrier d’usine ou neurologue, on ne sait jamais où il sera aujourd’hui ni demain. Un fantôme sans identité fixe, un visage à masque multiple.
Il est difficile de cerner sa personnalité, un soir il sera charmeur et plein de sujet de discussion, le lendemain il sera froid et dur pour terminer en un manager d'un très grand charisme et don de leadership. Il n'y a qu'une seule personne qui connait vraiment son coeur et il lui porte beaucoup d'importance. Ce qui d'ailleurs, fortement humoristique, dévoile en lui un sentiment de possession et donc de jalousie. Simplement car, son coeur est doux et son âme innocente, cherchez à le comprendre et il sera à jamais un soutien fidèle.
Sous son vrai jour, il paraît être un homme ténébreux, laissant passer une aura terrifiante mais : « Ne vous fiez pas aux apparences. ».
Son corps robuste cache des cicatrices qui n'ont pas guéri depuis l'enfance, la solitude a toujours été sa meilleure amie. Bien sûr, Elle était là pour le soutenir. Elle était si proche mais, paraissait si lointaine. Les autres garçons de son âge ne portaient pas Ludwig dans leur coeur, ceux qui ont tenté ont d'ailleurs fini par le déserter. Beaucoup trop malin pour eux.
A la maison, aucun changement malgré le milieu aisé. Sa mère ne lui portait que peu d’intérêt, l’appelant pour manger point, son père lui était un médecin alcoolique aux rêves brisés et se déchainer en battant son fils. Sans broncher, sans enchanter les coups par des cris mélodieux, il subit sa punition non mérité. Et lorsqu’il montait à sa chambre, le corps douloureux il ne pensait qu’au lendemain.
« Je la verrais demain. » se disait-il, lui l’enfant, si pur et si innocent qu’il n’en voulait même pas à ses parents.
Ludwig avait pris pour habitude de s’agenouiller devant la fenêtre, les yeux fermés et les mains scellés l’une à l’autre et prier le bon Dieu. « Faites qu’elle ne me quitte jamais, elle est la seule lumière que j’ai. » Elle brillait si fortement, si fort que son monde n’était que Jardin d’Eden malgré tout le mal autour de son frêle corps d’enfant. Malheureusement à partir de primaire, ce rayon commençait à s’évanouir. Ludwig. Tu es beaucoup trop intelligent pour ton propre bien.
Il avait remarqué d’ailleurs remarqué qu’elle avait quelques sentiments pour lui mais, s'il lui avait dit oui ou non, dans les deux cas cela aurait été bref et il ne voulait pas que son dernier espoir s’évapore dans les ténèbres. Alors, il est resté neutre et stoïque malgré ses sentiments pour elle.
Et la nuit encore, il s’agenouillait et laissait sortir quelques larmes. C’est à partir de ce moment qu’il prit l’habitude de tout raconter à son démon, chaque détail de sa vie, ces émotions, ces joies et ces troubles.
Et lorsque vers ses seize ans Elle partit, il était si triste, si triste mais il ne pleura pas. Il ne peina pas. Mais, son renard lui semblait si malheureux, comme le cœur de Ludwig. Sa chambre était engloutie dans un noir totale, même lorsqu’on venait frapper à sa porte et l’ouvrait impétueusement, on ne découvrait que le vide des ténèbres.
Il y resta deux, trois jours avant de revenir à son état initiale. Ses parents le regardaient avec stupeur et tristesse. La lumière de sa belle disparaissant a laissé place au vide, au noir ténébreux qui accapara Ludwig.
Il devint plus asocial qu’il ne l’était, ne se préoccupant plus du monde. Il brûla Dieu de sa vie. Il étudiait, se plongeait dans les livres. Ludwig voulait expier ses péchés dans le dur labeur et oublier.
A l’église il remarqua une chose. La musique calmait son esprit. Il décida donc de s’inscrire à la chorale pour en apprendre plus, il a été un des plus talentueux pendant plusieurs années et est parti s’inscrire au conservatoire à dix-huit ans. Malgré que les gens l’évitent, ils étaient attirés par lui comme un aimant lorsqu’il jouait de la musique. Ses mélodies exprimaient une tristesse unique, portaient une mélancolie jamais connu auparavant.
Un accident de moto arracha pourtant ce rêve, ce dernier espoir. Son épaule gauche était défectueux. Il décida ce jour-là de devenir tout. Sa coquille est vide ? Il l’a remplira.
Il se mit à lire encore plus de livres, de chaque domaine qui l’intéressait, à prendre des cours particuliers tout en travaillant dans un petit travail pour obtenir de quoi vivre, médecine, ingénierie, pilotage, commerce & finance, art, sport… il touchait à tout et aimer ça. Il est un homme sans identité fixe, un homme doué d’un génie étonnant mais d’une vision du monde peu apprécié. Elle était tellement différente des autres, d'un réalisme, d'un pessimisme mais d'un optimisme. Encore l'ironie de la complexité intérieure de Ludwig. Il déteste son monde, il déteste tout mais, il ne leur en veut pas, il aime l'Homme.
Tout ce qu’il veut, c’est fuir l’univers, bercé par sa musique.
Histoire
QUINZE LIGNES MINIMUM
Amadeus
» Sexe ; Mâle » Race ; Renard à oreilles de chauve-souris. » Apparence ; ... |Cinq lignes minimum| » Caractère ; ... |Cinq lignes minimum| » Fusion ; ... |Indiquer si la fusion est faisable avec le maitre et une petite description s'impose|